mardi 8 décembre 2009

Des vagues au p’tit lac Saint-Louis


Carte postale éditée par le photographe Charpentier, vers 1960.

En 1966, le lac Saint-Louis fut le théâtre de deux activités sportives d’envergure. D’abord le marathon de nage par équipe, en juillet, puis, le 3 septembre, une épreuve de canots réservée aux participants de la traditionnelle Classique internationale disputée entre La Tuque et Trois-Rivières.

Voici les extraits de la revue Saguenay Loisirs, numéro de septembre 1966, consacrés à la compétition de canots et aux commanditaires latuquois.

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Un autre périodique accorde sa «une» à La Tuque.

La revue mensuelle Loisir Plus publie, sur la couverture d’un numéro de 1976, une photo d’une équipe féminine de hockey portant les couleurs de La Tuque.

Françoise Bordeleau a retracé cette photo, parue à la page 44 de l’album de L’Écho de La Tuque, « Projection '86 » , et me fait remarquer que l’écusson des gilets portés par les six jeunes filles, dont la moyenne d’âge se situait autour de 16 et 17 ans, se trouvait aussi sur l’uniforme de l’équipe masculine à une certaine époque.

Donald Angers a fait la recherche et fourni des détails sur ces athlètes. De gauche à droite, à l’arrière (entre parenthèses, le nom du futur mari) : Rose-Éliane (Rosée) Jean (Émile Fontaine), Évelyne Forest (Oscar Fontaine), Hervé Riberdy, entraîneur de l'équipe, Fabiola Jean (Thomas Lavoie), Éléonore Perron, morte d’épuisement, semble-t-il, mais on peut penser à la tuberculose, au début de juin 1916, enterrée le 4. En avant : Marie-Anne Descôteaux (Adélard Tremblay) et Daisy Adams (Philippe Bouchard).

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SUIVIS, AJOUTS ET APARTÉS

Champagnat

Suite à la publication de ma page sur les écoles maristes, Doris Long, une enseignante latuquoise à la retraite, m’a fait parvenir un courriel pour me signaler une erreur dans mes propos. Je l’en remercie. Voici son intervention.

« Monsieur Tremblay, voici pour compléter votre information au sujet de l'école Champagnat.

Elle n'a jamais pris le nom de Félix-Leclerc. On parlait plutôt de la polyvalente Félix-Leclerc à deux pavillons: le pavillon Central et le pavillon Champagnat. Cette dénomination, celle de Félix Leclerc, ne sera pas conservée. Officiellement, aujourd'hui, le nom est École secondaire Champagnat. »

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Norman Martinson

J’ai mentionné le nom de la famille Martinson dans une page antérieure. Voici une photo de groupe qui remonte à 1960, prise à l’heure du midi, devant l’entrée du bureau de l’administration de l’usine de la C.I.P., et sur laquelle figure, en avant, au centre, Norman Martinson.

De gauche à droite, en avant : Thérèse Danis, réceptionniste, Norman Martinson, superviseur du département de la vapeur et de la récupération, et Maurice Pilon, assistant gérant de l’usine; à l’arrière : Alton Tafel, le gérant, George Todd, superviseur de l’entretien des terrains, Gérard Martel (?), commis à la comptabilité, et André Savard.

Photo : archives de Dave Tafel.

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Cadets de l'Armée de Champagnat

J’aurais dû inclure cette page (reformatée ici) de l’Album souvenir des maristes latuquois, qui contient la lettre d’adieu (écourtée) du chef instructeur (l’était-il vraiment ?), Lionel-Albert, ainsi que la liste des élèves et des adultes impliqués dans ce corps de cadets de l’Armée de Champagnat, dont la devise, «Esto vir», signifie littéralement «Sois un homme». Quant à ACER ACERPORI , celle des cadets canadiens, elle se traduit par «Tant vaut la sève, tant vaut l'érable».

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Carte postale peu connue du Brown Community Club, datant probablement de la fin des années 1920. Archives d’Hervé Tremblay.


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